Connexions entre Covid et Ondes électromagnétiques

Expériences

Il n’y a pas encore d’études scientifiques sur l’effet positif des ondes scalaires sur la nocivité des ondes électromagnétiques (EMF). Alors que l’effet nocif des EMF sur le vivant est démontré depuis des années. Depuis peu, un article scientifique paru en septembre 2021 fait état de possibles connexions entre le Covid et les ondes électromagnétiques. Ces ondes viennent perturber le fonctionnement de tout l’organisme vivant et le fragilisent, ci-dessous la traduction de la publication.

Preuves d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences provenant des télécommunications sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/
(Publication des Drs. Beverly Rubik et Robert R. Brown)

« Nous avons étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de Covid 19 : le rayonnement radiofréquences ambiant des systèmes de communication sans fil y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques. Le SRAS-CoV-2, le virus qui a provoqué la pandémie de COVID-19, est apparu à Wuhan, en Chine, peu après la mise en place de la 5G (cinquième génération de systèmes sans fil) à l’échelle de la ville et s’est propagé dans le monde entier démontrant initialement une corrélation statistique avec les communautés internationales ayant récemment établi des réseaux 5G. ».

L’étude a analysé la littérature scientifique évaluée par des pairs (peer reviewed) afin d’identifier la façon dont les rayonnements non filaires ont pu se comporter comme cofacteur environnemental toxique.
Selon le Center for Disease Control and Prevention (CDC), organisme américain de référence mondiale, le modèle le plus simple de causalité de la maladie est la triade épidémiologique composée de trois facteurs interactifs :

  • l’agent (agent pathogène)
  • l’environnement
  • l’état de santé de l’hôte

L’agent pathogène (Coronavirus) et les facteurs de risques (obésité, HTA, diabète) qui rendent un hôte plus susceptible de succomber à la maladie ont été élucidés, mais les facteurs environnementaux n’ont pas été suffisamment explorés.
Les rayonnements électromagnétiques de la technologie sans fil ont déjà été reconnus comme une forme de pollution de l’environnement et de stress physiologique (Balmori 2009).

 La 5G utilise des bandes de hautes fréquences du spectre électromagnétique dans la gamme s’étendant de 600 MHz à 90 GHz, comprenant les bandes de fréquences de la 3G et 4G ainsi que les ondes millimétriques.

 Ces dernières imposent l’installation de nouvelles antennes afin d’émettre des faisceaux de rayonnements pulsés et polarisés à partir de stations de base et d’antennes situées à proximité des maisons et des écoles du fait de leur portée limitée. En outre, un réseau d’environ 100 000 satellites a commencé à être placé en orbite terrestre pour réaliser un réseau sans fil mondial.
La conséquence évidente sera une augmentation considérable de l’exposition au rayonnement électromagnétique de la population à l’extérieur et à l’intérieur des structures, avec des conséquences inconnues sur la biosphère y compris sur les humains.

La Covid -19 a commencé à Wuhan en Chine en décembre 2019, peu de temps après la mise en service de la 5G à l’échelle de la ville le 31 octobre 2019. D’autres régions ont vu se propager l’épidémie comme la Corée du Sud, l’Italie du Nord, New York, Seattle et la Californie du Sud, régions où cette technologie avait été aussi mise en œuvre.
En Avril 2020, Payeras et Ciffre (2020) ont signalé une corrélation statistiquement significative entre les densités des antennes 5G et l’emplacement des cas de Covid- 19 dans des régions spécifiques du monde. Au cours de la première vague aux États- Unis, les cas et les décès attribués à la Covid-19 étaient plus élevés dans les états dotés d’une infrastructure 5G que dans les états qui ne disposaient pas encore de cette technologie (Tsiang et Havas, manuscrit soumis).

Nous ne reviendrons pas sur les symptômes et leur description dans la Covid 19 qui sont connus, mais nous allons établir un parallèle entre ces symptômes et ceux provoqués par l’exposition aux radiations des technologies sans fil :
les travaux scientifiques menés dès le début de la seconde moitié du XXe siècle aussi bien par les Soviétiques que par les Américains dans les années 60–70, ont montré que des expositions aux radiofréquences pouvaient avoir des effets sur la physiologie des êtres vivants, et cela pour des niveaux d’exposition 100 fois inférieurs à 1mW/cm2 (lignes directrices pour les États-Unis actuellement).

Une bibliographie de plus de 3700 références sur les effets biologiques rapportés dans la littérature scientifique mondiale a été publiée en 1972 (révisée en 1976) dans le rapport de l’U.S. Naval Médical Research Institute (Glaser 1972 ; 1976).
Un examen complet des effets biologiques des ondes millimétriques indique que même les expositions à court terme produisent des effets biologiques marqués (Pakhomov 1998).
Une remarquable étude résumant les connaissances à la fin du XXº siècle existe en français dans l’ouvrage de Cyril Smith « L’homme électromagnétique » traduit par Alex Vicq aux éditions Encre.

Les travaux de Mc Clare (1974) et de Tsong  (1989) ont montré que la communication cellulaire et les réactions métaboliques ont un préalable électromagnétique à toute réaction biochimique.
Il a surtout été constaté que les émissions de faible niveau ont un impact sur l’organisme à tous les niveaux d’organisation :

  • Au niveau moléculaire
  • Au niveau cellulaire
  • Au niveau physiologique
  • Au niveau comportemental
  • Au niveau psychologique

Il a été démontré que cela provoque des effets systémiques néfastes sur la santé, y compris :

  • Un risque accru de cancer (Borktkiewiz 2017)
  • Des changements endocriniens (Sangun 2016)
  • Une augmentation de la production des radicaux libres (Yamikenko 2016)
  • Des dommages de l’ADN (Ruediger 2009)
  • Des changements dans le système reproducteur (Asghari 2016)
  • Des efforts d’apprentissage et de mémoire (Zhang 2017)
  • Des troubles neurologiques (Pall 2016)

L’article présente un tableau comparatif entre les effets de l’irradiation par les radiofréquences et les effets de la Covid-19 :

1) Changements sanguins et vasculaires :

1.a) Effets de l’exposition aux radiofréquences
Court terme : Rouleaux, échinocytes
Long terme : réduction du temps de coagulation du sang ; réduction de l’hémoglobine ; troubles hémodynamiques.

1.b) Effets du Covid 19
Rouleaux, échinocytes (globules rouges en forme d’oursins)
Réduction de l’hémoglobine dans les atteintes sévères ; anémie hémolytique auto-immune ; hypoxémie et hypoxie.
Lésions endothéliales : Altération de la microcirculation ; hypercoagulation ; coagulation intravasculaire disséminée ; embolie pulmonaire ; accident vasculaire cérébral.

2) Stress oxydatif :

2.a) Effets de l’exposition aux radiofréquences
Diminution du niveau de glutathion ;
Augmentation des radicaux libres et de la peroxydation lipidique ; diminution de l’activité de la superoxyde dismutase ; lésions oxydatives dans les tissus et les organes

2.b) Effets du Covid 19
Diminution du niveau de glutathion ;
Augmentation des radicaux libres et dommages provoqués par ceux-ci ; lésions oxydatives entrainant des dommages aux organes dans les atteintes sévères.

3) Effets de l’augmentation du calcium intracellulaire :

3.a) Effets de l’exposition aux radiofréquences
Activation des canaux calciques voltage-dépendants (CCVD) sur les membranes cellulaires avec de nombreux effet secondaires.

3.b) Effets du Covid 19
Augmentation de l’entrée, de la réplication de la libération des virus.
Augmentation du NF-KB, processus pro-inflammatoires ; coagulations et thromboses.

4) Effets cardiaques :

4.a) Effets de l’exposition aux radiofréquences
Régulation à la hausse du système nerveux sympathique ; palpitations et arythmie.

4.b) Effets du Covid 19
Myocardites ; ischémie myocardique ; lésions cardiaques

5) Perturbations et activation du système immunitaire :

5.a) Effets de l’exposition aux radiofréquences
Immunosuppression dans certaines études ; hyper activation immunitaire dans d’autres études.
À long terme :

  • suppression des lymphocytes T
  • augmentation des bio marqueurs inflammatoires
  • auto-immunité
  • lésions d’organes

5.b) Effets du Covid 19
Diminution de la production de lymphocytes T ; bio marqueurs inflammatoires élevés.
Hyper activation et inflammation immunitaire ; tempête de cytokines dans les formes sévères ; hypo perfusion induite par les cytokines avec hypoxie qui en résulte ; lésions d’organes ; défaillance d’organes.       

Détails de quelques-unes de ces comparaisons :

EFFETS SUR LE SANG :

L’exposition aux rayonnements de communication sans fil peut provoquer des changements morphologiques dans le sang. Deux études récentes ont documenté la formation d’agrégats microscopiques érythrocytaires (Havas 2013) ainsi que la formation d’echinocytes (hématies en forme d’oursin) lors de l’exposition au rayonnement de téléphone intelligent 4G (Rubik 2014).
Des changements similaires ont été décrits dans le sang périphérique de patients atteints de Covid-19 (Lakhdari 2020).
Ces changements sanguins peuvent (Wagner 2013) :

  • Entraver le transport de l’oxygène,
  • Contribuer à l’hypoxie
  • Augmenter le risque de thrombose

Une étude russe de 1977 a montré que des rongeurs irradiés par des ondes de 60 à 37 GHz à 1mW/cm2 pendant 15 minutes par jour pendant 60 jours ont développé des troubles hémodynamiques, supprimé la formation de globules rouges, réduit l’hémoglobine et entraîné une inhibition de l’utilisation de l’oxygène (phosphorylation oxydative par les mitochondries) (Zalyubovskaya 1977).
Il a été proposé que le virus Sars–Cov2 attaque les érythrocytes et provoque la dégradation de l’hémoglobine (Cavezzi 2020).
En résumé, l’exposition aux fréquences de communication sans fil et à la Covid 19 peut avoir des effets délétères sur les globules rouges et réduire les taux de globules contribuant à l’hypoxie dans la Covid-19. Des lésions endothéliales peuvent également contribuer à l’hypoxie et à bon nombre de complications vasculaires observées dans la Covid-19. (Varga 2020)

STRESS OXYDATIF :

Le stress oxydatif est un état pathologique non spécifique reflétant un déséquilibre entre une production accrue de radicaux libres et une incapacité de l’organisme à gérer cette surproduction. Ce qui entraîne des difficultés pour réparer les dommages qu’ils causent aux biomolécules et aux tissus. (Betteridge 2000).
Le stress oxydatif peut :

  • Interférer avec la signalisation cellulaire
  • Provoquer la formation de protéines de stress
  • Générer d’autres radicaux libres en cascade
  • Causer des dommages à l’ADN

Le stress oxydatif et le dysfonctionnement mitochondrial peuvent perpétuer la tempête de cytokines aggravant les lésions tissulaires et augmentant le risque de formes graves et de décès.
Parmi les 100 études actuellement disponibles et évaluées par des pairs portant sur les effets oxydatifs des radiofréquences de faible intensité, 93 études ont confirmé que ces radiofréquences induisent des effets oxydatifs dans les systèmes biologiques (Yamikenko 2015).
Le rayonnement fréquentiel des communications sans fil est un agent oxydatif à fort potentiel pathogène en particulier lorsque l’exposition est continue (Dasdag et Akdag 2016).
Le stress oxydatif est également un mécanisme accepté causant des lésions endothéliales (Higashi 2009). Cela peut se manifester chez les patients atteints de Covid -19 sévère en plus d’augmenter le risque de formation de caillots sanguins et d’aggravation de l’hypoxémie (Cecchini et Cecchini 2020).
De faibles niveaux de glutathion, le principal antioxydant, ont été observés dans un petit groupe de patients atteints de Covid 19, le niveau le plus bas ayant été trouvé dans les cas les plus graves (Polonikov 2020).
En fait, le glutathion, la principale source d’activité antioxydante à base de sulfhydryle dans le corps humain, pourrait jouer un rôle central dans la Covid 19 (Guloyan 2020). La carence en glutathion a été proposée comme la cause la plus probable de manifestations graves de la Covid-19 (Polonikov 2019).
Le plasma sanguin des personnes résidant à proximité des stations de base des téléphones mobiles a montré une réduction significative des niveaux de glutathion, de catalase et de superoxyde dismutase par rapport aux témoins non exposés (Zothansiama 2017).
Il existe une corrélation entre le stress oxydatif et la thrombogenèse (Loscalzo 2003).
L’exposition environnementale omniprésente aux radiofréquences de communication sans fil peut contribuer aux maladies cardio-vasculaires en créant un état chronique de stress oxydatif (Bandara et Weller 2017).
L’augmentation de l’exposition aux radiofréquences de télécommunication sans fil peut causer des lésions oxydatives dans le foie, les poumons, les testicules et les tissus cardiaques médiée par la peroxydation lipidique, l’augmentation des niveaux d’oxyde nitrique et la suppression du mécanisme de défense antioxydant (Esmekaya 2011).

LA REPONSE IMMUNITAIRE :

Lorsque le virus de la Covid-19 infecte pour la première fois un humain, il attaque les cellules qui tapissent le nez, la gorge et les voies respiratoires supérieures, cellules abritant un récepteur ACE-2. Une fois que le virus a accédé à la cellule par l’intermédiaire de sa protéine de pointe (protéine Spike), la cellule est convertie en une machine à répliquer le virus.
En réponse à cette infection, une réponse immunitaire systémique innée et une réponse adaptative retardée se produisent (Cao 2020). Le virus peut provoquer un dérèglement de la production de lymphocytes T. Les cas graves ont tendance à avoir un nombre de lymphocytes T plus faible (Qin 2020), ainsi qu’une plus grande altération des lymphocytes T.
L’exposition à des radiofréquences de faible niveau montrent une altération immunitaire (McCree 1980). Baranski (1971) a montré des changements non thermiques dans le nombre des lymphocytes, des anomalies de la structure nucléaire et une mitose dans la lignée des cellules erythroblastiques de la moelle osseuse. D’autres chercheurs ont montré que l’exposition de lapins durant 3 mois entrainait une suppression des lymphocytes T (Nageswari 1991).
Les rats irradiés à 2,45 GHz à 500 microwatts/cm2 pendant sept heures par jour pendant 30 jours ont produit des réactions auto-immunes et, irradiés à 100–500 microswatts/cm2, ils ont produit des réactions immunitaires pathologiques persistantes (Grigoriev 2010). Étude importante car Grigoriev a utilisé la porteuse des technologies 3G et 4G.

CALCIUM INTRACELLULAIRE :

L’exposition aux radiofréquences de télécommunication à faible niveau entraîne une augmentation du calcium intracellulaire via l’activation des canaux calciques voltage–dépendants (Pall 2013). Ceci est considéré comme l’un des principaux mécanismes d’action des radiofréquences sur les organismes.
Le calcium intracellulaire est également essentiel à l’entrée, la réplication et la libération du virus et il a été rapporté que les virus détournent les canaux calciques et augmentent le calcium intracellulaire (Chen 2019).
Les médicaments inhibiteurs des canaux calciques (Amlodipine-Nifédipine) augmenteraient la survie des patients les consommant et limiteraient la nécessité d’une intubation, d’une ventilation mécanique par rapport aux témoins. Ils limitent fortement l’entrée et l’infection du Sars–Cov-2 dans les cellules pulmonaires épithéliales en culture (Strauss 2020).
Ces médicaments bloquent également l’augmentation du calcium intracellulaire causé par l’exposition aux radiofréquences (Pall 2013)
En bref, l’exposition aux radiofréquences de télécommunication sans fil peut améliorer l’infectiosité du virus en augmentant le calcium intracellulaire qui peut également contribuer directement aux processus inflammatoires et à la thrombose.

MALADIES CARDIAQUES ET ARYTHMIE :

Il existe pour les arythmies cardiaques rencontrées chez les patients atteints de Covid-19 des causes cardiaques et extra cardiaques (Dherange 2020). L’infection directe du muscle cardiaque par le virus provoque :

  • Une myocardite,
  • Une ischémie myocardique de diverses origines
  • Une augmentation du travail cardiaque secondaire à une hypertension pulmonaire ou systémique

 Ces causes peuvent provoquer une arythmie cardiaque mais l’hypoxémie causée par une pneumonie diffuse ou des embolies pulmonaires ou des syndromes de détresse respiratoire peut aussi être à l’origine d’une arythmie cardiaque.
Dans les années 1970, Glaser a examiné plus de 2000 publications sur les effets biologiques de l’exposition aux radiofréquences et a conclu que le rayonnement micro-ondes peut altérer l’électrocardiogramme, causer des douleurs thoraciques, provoquer une hypercoagulation, des thromboses et de l’hypertension, en plus de l’infarctus du myocarde (Glaser 1971-1976). Des convulsions, une altération de la réponse du système nerveux autonome (augmentation de la réponse sympathique au stress) ont également été observées.
Havas (2010) a rapporté que les sujets dans une étude contrôlée en double aveugle étaient hyper-réactifs lorsqu’ils étaient exposés à 2,45 GHz, développant soit une arythmie soit une tachycardie et une régulation à la hausse du système nerveux sympathique qui s’associe à la réponse au stress. Il a été constaté que l’exposition Wi-Fi affecte le rythme cardiaque, la pression artérielle et l’efficacité des catécholamines sur les muscles des parois vasculaires, ce qui indique que les radiofréquences des systèmes de communication sans fil peuvent agir directement et/ou indirectement sur le système cardio-vasculaire (Saili 2015).

ANALYSE :

Les données probantes de la littérature qui ont été analysées suggèrent un lien entre plusieurs effets néfastes sur la santé suite à l’exposition aux radiofréquences des télécommunications sans fil et l’évolution clinique de la Covid-19.
Les preuves indiquent que ces radiofréquences peuvent :

  1. Affaiblir l’hôte,
  2. Exacerber la maladie Covid 19
  3. Aggraver la pandémie.

Plusieurs problèmes de sécurité non résolus doivent être envisagés avant que la 5G des très hautes fréquences ne soit mise en œuvre à l’échelle planétaire. Des questions ont été soulevées au sujet du 60 GHz qui est une fréquence que la 5G a prévu pour une utilisation intensive.
Il s’agit de la fréquence de résonance de la molécule d’oxygène (Tretyakov 2015). Il est possible qu’il existe des effets biologiques nocifs résultant d’une absorption d’oxygène perturbée par l’exposition au 60 GHz.

Commentaires de l’articles réalisés par :
Dr Marc François Paya MD, directeur scientifique Comosystems S.L
Dr René Messagier MD, C.E.O Comosystems S.L
[Distribution des CMO : CEM-Vivant]

Retrouvez tous les détails (et les bibliographies) de cet article sur :
https://www.cem-vivant.com/page-covid-et-pollution-electromagnetique,165.html

3 commentaires sur “Connexions entre Covid et Ondes électromagnétiques

  1. Bonjour Cédric,
    Je crois utile de prendre conscience de ce qui est (et que personne malheureusement ne me semble pouvoir arrêter pour l’instant), et encore plus de ce qu’il nous faut faire maintenant pour nous « protéger », en élevant notre taux vibratoire entre autres.
    Merci beaucoup pour tous vos autres articles, vos créations ainsi que des tests que vous avez pu faire, ils aiguillent notre esprit vers le positif, et nous ouvrent toute une voie des possibles…

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